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  • Photo du rédacteurCatherine Nempont

Le DAZIBAO de Louis-Serge REAL DEL SARTE



Aujourd’hui je vous présente le DAZIBAO de Louis-Serge Real del Sarte.

Est-il besoin de le présenter vue le nombre faramineux de contacts et followers sur les médias sociaux, les articles écrits sur lui et par lui ?

J’ai lu beaucoup de choses sur son parcours si riche, mais ma naïveté naturelle ou certainement mon sens profond de l’humain, de l’être en tant que tel m’a guidé vers lui, sans attendre en retour qu’il me pousse mes articles ou dans mes projets.

Mon authenticité et mon honnêteté présentées à lui pour ce DAZIBAO, fait que j’ai eu cette belle opportunité de pouvoir l’interviewer et de retranscrire à ma manière ce qu’il m’a confié.

Louis-Serge Real del Sarte est un homme très accessible, d’une grande élégance d’esprit, de mots et de ton, que j’espère savoir vous retranscrire dans le DAZIBAO que je vous propose ci-dessous.

C’est ce qui me passionne dans ce projet, faire découvrir ou redécouvrir une personne, quel qu’en soit le jugement que vous portez sur elle, qui soit bon ou non. C’est un tête-à-tête que j’ai d’abord avec la personne et que vous avez ensuite avec elle, sans que j’ai dénaturé le contenu de cet échange, ce fabuleux espace de parole libérée.

Ce bonheur infini que je vis de rendre les médias sociaux plus humains, moins mécaniques, plus vrais.

Je vous invite à lire le DAZIBAO de Louis-Serge Real Del Sarte.


Si j’étais un espoir :

La mer ! Parce que je suis en train de concrétiser un rêve de vie de m’installer en bord de mer. L’espoir étant d’arriver à ce cheminement. J’ai fait une carrière financière et bancaire. Il y a 10 ans j’ai fait un virage digital grâce à Valérie ASSELOT, coach HEC.

Après une succession de CDI, et à chaque fois que j’avais un contrat de travail c’était dans l’objectif de revendre leurs sociétés, ce qui fait qu’au fil du temps j’ai avancé malgré moi en libéral.

Ainsi, quitte à travailler à la campagne dans mes bureaux, j’ai préféré m’installer dans un lieu infiniment plus sympathique en bord de mer dans un environnement plus agréable. Évidemment avec une autonomie qui permet aujourd’hui grâce à la technologie de vivre loin de ses clients tout en étant proche d’eux par le numérique.

Donc mon espoir c’est le changement d’habitat professionnel et personnel ayant maintenant compris qu’à mon âge il est plus raisonnable de consacrer encore plus de temps à l’amélioration de mon cadre personnel et familial.


Si j’étais une entreprise au CAC40

Air Liquide ! Car je crois que l’on se trompe, ce ne sont pas les véhicules électriques qui gagneront mais plutôt les propulsions à hydrogène et je pense que la voiture de demain ce ne sera pas la miniaturisation des batteries mais ce sera une recharge ultra rapide par l’hydrogène.

C’est donc pour cela que je pense qu’Air Liquide à un sacré potentiel. Ce sera une bonne chose de quitter le tout pétrole et le gasoil pour demain.


Si j’étais un média social

YLFLY, ma société, pour dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

Essayer de casser les hypocrisies quand on regarde les comptes Twitter de l’ensemble des grandes structures et les grandes stars dont on regarde après les 500 derniers followers on se rend compte que la majorité des followers ont été achetés et que les comptes sont basés sur du mensonge.

J’essaierai donc d’apporter plus de transparence. Et ce qui est très étonnant c’est que j’ai travaillé il y a 10 ans avec un ingénieur informaticien qui était très doué, on voulait voir à l’époque dans quelle mesure on pouvait avoir un baromètre de réputation pour les entreprises ce qui était très difficile à mettre en place, parce que l’on n’était pas dans un marché mature.

Aujourd’hui je m’aperçois que les articles sortent sur la valorisation des entreprises dont 29% de la côte d’amour fluctuerait au CAC40 entre autres, et proviendrait de la réputation de ses dirigeants et de l’entreprise au travers des médias sociaux et de leur communication digitale.


Si j’étais une controverse :

Ce serait moi et la politique. Aujourd’hui nous avons des personnes qui se font élire sur des engagements qu’ils ne tiennent pas. Donc ici la controverse est majeure et c’est ce qui fait rayonner notre monde aujourd’hui : on dit ce que l’on fait, mais on ne fait pas ce que l’on dit.

C’est sans doute pour cela qu’il y a tant de problèmes, car personne n’a encore trouvé la solution pour que les personnes élues tiennent leurs engagements lors de la promesse de campagne.

Il y a plein d’autres controverses que je pourrais énoncer comme l’économie circulaire à outrance, mais également bâtir des murs entre deux pays comme entre le Mexique et les États-Unis alors qu’on se félicitait d’avoir fait tomber le mur de Berlin.

Mais également avoir ouvert le monde tel qu’il est en fabriquant dans différentes parties du monde, alors qu’aujourd’hui je sens un mouvement dangereux où on revient à un protectionnisme qui va à l’encontre de tout ce que l’on a essayé d’ouvrir depuis ces 20 dernières années.


Si j’étais un souvenir :

Je serais trop multiple pour pouvoir le détailler parce que j’ai d’excellents souvenirs. Même si je ne regarde pas souvent dans le rétroviseur de temps en temps cela fait du bien de retomber sur quelques vieilles photos, que ce soient les amis, les parents, les enfants.

Les souvenirs ne peuvent être monochrome. C’est ce qui fait la richesse de la vie d’aujourd’hui c’est de vivre en harmonie avec ses souvenirs.


Si j’étais un artiste :

Je serais en haut de l’affiche (sourire) ! Si j’étais un artiste je serais soit un pianiste soit un dessinateur car j’ai eu la chance de pratiquer ces deux métiers, et que l’on m’a demandé à une époque d’éviter, et qu’aujourd’hui transpire au travers des GIF brandés que je vais faire pour des clients. En effet, j’utilise finalement cette panoplie que j’ai caché au fond de moi au travers de la musique et des arts, que ce soient la danse, le piano ou le dessin. Si j’étais un artiste je serais moi-même.


Si j’étais un verbe :

Je serais en marche forcée comme Zapata au-dessus de la Manche ! Je serais « ralentir », prendre plus le temps de vivre ce que je fais à cent à l’heure. J’ai une fâcheuse tendance à l’hyperactivité, et force est de constater aussi qu’il est bon de mettre un frein, s’aérer, prendre les choses autrement.


Si j’étais un hashtag :

Il y a deux théories : il y a celui qui va jouer des coudes pour « tuer » son prochain pour arriver en haut et il y a celui qui avancera avec les autres, même si c’est beaucoup plus lent, mais quand il est en haut on ne cherchera pas à le faire trébucher car il aura aidé ceux qui sont autour de lui à monter avec lui.


Si j’étais une émotion :

La Rage ! A 16 ans on me disait que je voulais changer le monde et c’est le monde qui me changerait, et aujourd’hui je m’aperçois avec rage que c’est vrai !

A commencer par le non-respect de l’environnement, et tout ce qui est fait pour détruire la planète et pas la protéger.

Là où j’enrage c’est plein de thèmes comme l’embauche des séniors au-delà de 50 où il devient très difficile d’être recruté, ce qui est paradoxal quand on voit que l’on rallonge l’âge de la retraite.

La rage c’est d’avoir à la fois des personnes qui profitent du système et en même temps faire croire que tout le monde profite du système alors qu’il y en a certains qui sont courageux qui aimeraient plus travailler et faire les choses alors qu’on ne leur donne pas cette opportunité.


Si j’étais une tendance :

La proximité ! Nous sommes sur des réseaux sociaux dans mon métier qui sont généralistes, mais il manque un réseau social de proximité du type « fête des voisins toute l’année ».

Une manière de rapprocher les personnes, alors qu’aujourd’hui on est du chacun pour soi.

Je pense que le monde du numérique dans lequel nous avons évolué isole les individus et je pense qu’il faudrait leur réapprendre à mieux connaître leurs voisins pour plus partager et augmenter le rayonnement de leur vie. Tout ceci pour leur donner de l’espoir, de la bienveillance et le courage.



Nouveauté :

J’offre à la personne qui réalise un DAZIBAO « coup de cœur » de poser une question à la personne suivante si elle le souhaite.

Aujourd’hui il s’agit de Christine HUET MORIO :

Si j’étais le métier que je rêvais d’exercer dans mes rêves d’enfant :

Architecte ! Pour construire des maisons dans lesquelles nous avons envie de vivre. Force est de constater que lorsque l’on construit une maison on prend l’exemple de la maison d’à côté alors que le rêve est de créer sa propre maison selon ses propres besoins.

Le problème étant à l’issue dans la revente de celle-ci, où on ne rentre plus dans les critères auxquels les gens sont habitués. Et donc que la différence peut mettre en danger alors que l’on devrait sans conteste être poussé à le faire.


 

Plus que de parler de son parcours Louis-Serge me parle d’avenir. Aujourd’hui il est en freelance, mais demain il aimerait travailler dans une puissante structure, qui aurait besoin d’une personne pour organiser tout ce qui a trait aux médias sociaux, au digital.

Avoir une personne d’envergure qui connaît tous les tenants et aboutissants de ces moyens de communication peuvent mener l’entreprise au zénith.

Cette belle maturité digitale acquise depuis ces 10 dernières années en France et dans le monde, à condition que cela soit réalisé par l’entreprise dans la capitalisation et la valorisation de l’entreprise elle-même.

Ceci représente évidemment un point particulièrement fort, souligne Louis-Serge Rual del Sarte, et pense que le métier évoluera d’une manière très professionnalisée avec une décomposition des différents profils.

Les métiers autour des médias sociaux sont internationalisés, reconnus. Louis-Serge est freelance actuellement pour des groupes comme AFNOR, MMA. Les métiers dans les sociétés pour lesquelles il travaillait précédemment ont particulièrement évolués dans leurs définitions et leurs nouveaux objectifs.

Le métier de demain pour Louis-Serge serait de faire tout ce qu’il fait, tout ce qu’il a fait en BtoB, où il est très spécialisé, dans une société qui a beaucoup de salariés. Entreprise pour laquelle il pourrait mettre en avant les réseaux sociaux, évangéliser les réseaux sociaux, former les salariés et les informer sur les évènements qui font évoluer l’entreprise.

C’est un vrai métier qui est passionnant me souligne-t-il. Ce métier nécessite de faire à la fois de la formation, de l’information, de l’évangélisation, être un capitaine qui montre la voie, tout en faisant de la surveillance, de la veille, et cela devient passionnant.

Pour conclure, il aimerait mettre à profit toute l’expertise qu’il a acquis en tant que Freelance depuis 10 ans au service d’une grande société dans la réalisation de ses objectifs.


Vous pouvez le retrouver sur LinkedIn, Twitter, Viadéo.

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