Une humilité à toutes épreuves, un sens aigu de l'humain, une professionnelle hors pair, je vous propose le PORTRAIT DAZIBAO de Stéphanie BERTELETTI.
Pour tout vous dire au départ ce n'était pas gagné, car à la lecture des précédents portraits, alors que je lui avais proposé quasiment en premier, mi-juillet, elle ne voulait plus le faire de peur de ne pas être à la hauteur. Que nenni !
Heureusement, avec les mots qu'il faut, et surtout mon amitié pour elle, j'ai le grand plaisir de vous la faire découvrir.
Femme délicieuse, pétillante, vivant et travaillant à 100 à l'heure en tant qu'assistante indépendante, je vous invite à lire son portrait Dazibao.
Si j'étais une association :
Je serais ADN Kids. C'est une association de Laurent Combalbert et Marwan Mery, deux négociateurs d'élite. Ils ont créé ADN (l'Agence des Négociateurs), qui enseigne la gestion des conflits et les techniques de négociation. Ils ont adapté leur concept aux enfants, d’où ADN Kids. J'ai le plaisir d'en être ambassadrice. Nous faisons des interventions en primaires (CE2, CM1, CM2), collèges et lycées. C'est absolument génial. Nous proposons des exercices aux enfants sur l’identification et la gestion des émotions ainsi que sur l’estime de soi. Cela aboutit à des échanges extraordinaires.
Si j'étais un des 5 sens :
Je serais le toucher. C'est un sens très développé chez moi. Quand je vois un objet, j'ai besoin de le toucher. Quand je lis, j'ai besoin de sentir les pages, de les feuilleter. Je lis un livre par semaine mais jamais le journal car je n’en aime ni le toucher ni l’odeur.
Petit clin d’œil, je ne sais me détendre qu'avec le massage. Je trouve un réel apaisement, je rentre dans une bulle de bien-être. Pour l'anecdote, je participe au championnat du monde du massage en tant que modèle. Oui, je sais il faut savoir souffrir ! (Éclat de rire)
Mélanie Hurtrez s'entraîne chaque semaine sur moi, c'est juste merveilleux. Un grand merci à elle pour ce plaisir.
Si j'étais un objet de mon quotidien professionnel :
Le crayon ! (Sourires) Mon quotidien en tant que secrétaire est plutôt face à un écran, mais le crayon m'apporte vraiment plus. Le besoin de prendre des notes, le plaisir d’écrire. Je fais bien plus confiance à mon crayon qu’à mon ordinateur. Jamais de panne, jamais de bug.
Si j'étais une couleur :
Orange ! C'est gai, lumineux. Même si c'est une couleur que je porte rarement, je l’ai fait entrer dans ma maison à mon arrivée dans le Nord en peignant le vestibule en orange. C'était comme un rayon de soleil. Cela apportait gaité, chaleur, couleur et contrebalançait avec le ciel gris. Arrivant de Milan, j’en avais grand besoin.
Si j'étais un hashtag :
#mangezbuvezcequevousvoulez ! J'en ai assez de ces dictats alimentaires ! Nous n'avons plus le droit de manger ou boire pour X raisons, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Carpe diem ! Ce sont les excès qui sont mauvais. Manger et boire doivent rester un plaisir. Je suis certainement épicurienne. Laissez-nous faire bombance si cela nous chante et arrêtez de nous faire culpabiliser ! La vie est trop courte pour ne pas en profiter.
Si j'étais une œuvre littéraire :
"Et soudain la liberté" d’Évelyne Pisier et Caroline Laurent. J'ai adoré ! J'ai eu la chance de rencontrer Caroline Laurent lors d'un salon du livre à Bondues. Elles devaient écrire le livre ensemble mais suite au décès d’Evelyne Pisier, Caroline Laurent a dû le finir seule. Elle en a donc modifié l’écriture et elle raconte la vie riche et intense d’Evelyne Pisier et en même temps leur rencontre. C'est un livre que j'ai dévoré. J’aimerais être Caroline Laurent, avoir rencontré Evelyne Pisier et avoir écrit ce livre.
Si j'étais un moment de sérénité :
Impossible chez moi ! Ce moment de sérénité ce serait de mettre mon cerveau sur pause. J'ai la tête trop pleine. J'aimerais parfois arrêter de penser, c’est difficile à faire. Mais j’ai le souvenir d’un moment très agréable, proche de la sérénité je pense. Mon grand-père se préparait le matin en écoutant de la musique classique. J’aimais le rejoindre dans la salle de bain et alors, la bouille encore recouverte de mousse à raser, il me faisait valser. C’était notre moment.
Si j'étais une citation :
"Si la liberté n'est pas réciproque alors elle n'est qu'un alibi." Raphaël Einthoven. (Europe 1)
Je ne veux pas rentrer dans les détails de la chronique de Raphaël Einthoven car il y aurait polémique et ce n’est pas le lieu mais je suis d’accord avec sa conclusion. Les personnes qui proclament la liberté d’expression doivent permettre à celles qui ne sont pas de leur avis de s’exprimer également.
Si j'étais une rencontre :
J'ai eu une magnifique rencontre, celle avec Jean d'Ormesson. Quel bonheur ! J'adorais cet homme, pour son humour, pour sa culture, pour son œil pétillant et coquin, pour son sourire malicieux. Quel charme ! Une amie, avec la complicité d’autres, a organisé un séjour surprise à Lyon où j’ai eu la joie de participer à une de ses conférences et de l’écouter pendant plus d’une heure. Je garde un souvenir ému de ce monsieur. Il aura été mon plus beau cadeau d’anniversaire. Merci à Fanny et ses complices !
Si j'étais un espoir :
L’éradication des manipulateurs psychologiques. Que ce soit dans la vie professionnelle ou personnelle, ils font énormément de dégâts, sont terriblement nocifs. Et il est parfois difficile de les repérer et encore plus de savoir les gérer. Une très bonne lecture sur ce sujet, « Comment neutraliser les profils complexes » de Marwan Mery et Laurent Combalbert.
Stéphanie Berteletti est secrétaire indépendante. Elle s'adresse aux petites structures qui ont besoin d’une aide administrative quelques heures par semaine ou par mois. Elle travaille soit sur site, soit à distance. Elle s'adapte aux besoins grâce à la richesse de son expérience professionnelle. Elle peut préparer vos pièces pour le comptable, être assistante en cabinet dentaire, assurer une permanence physique et téléphonique, retranscrire vos réunions avec le comité économique et social, faire la relecture et la correction de documents, de l'écriture…
Elle se passionne à apprendre pour s'adapter aux différentes situations.
Elle se dit "routinophobe". Elle adore changer de clients et de cadre de travail. Dans une journée elle peut exercer pour différentes sociétés, ce qui enrichit ses compétences.
Dans 5 ans elle espère que Scriptorium fonctionnera à temps plein et pourquoi pas avoir créé une équipe. Bon, ça c’est dans la vraie vie. Dans la vie rêvée, elle se voit dans une petite maison rouge et blanche à Fjällbacka se consacrant à l’écriture…
Vous pouvez la retrouver sur LinkedIn pour qu'elle vous aide dans votre gestion administrative.