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  • Photo du rédacteurCatherine Nempont

Dazibao : Didier TESTOT



Encore une magnifique rencontre, celle d’un homme que j’ai découvert sur Twitter, il avait commencé à me suivre, et au détour d’un tweet que j’avais fait pour mettre en avant Dazibao, nous avons appris à nous connaître.

Une voix posée, un sens aiguisé de l’économie, un travail de journaliste hors pair et une expertise dans la production de contenus vidéos, je suis sincèrement heureuse de vous présenter le portrait de Didier TESTOT.

J’apprécie sa sérénité, son regard sur le monde de l’entreprise à travers La Bourse et la Vie TV et ses conseils avisés. Je vous invite à découvrir Didier TESTOT grâce à son portrait Dazibao.


Si j’étais une rencontre :

Des milliers ! Je ne peux me limiter à une seule. Cela fait 30 ans que je rencontre des dirigeants d’entreprises de tous horizons, donc il est particulièrement difficile de choisir. J’aimerais cependant rester dans une forme de généralité. Si je devais quand même choisir, celle avec Bernard Loiseau le chef étoilé, restera unique, mon hommage quelques années après sa disparition s’appelle « Le Cuisinier et la Bourse ».


Si j’étais un réseau business :

Le futur réseau business : Le BV Entrepreneur Club ! Club business que je souhaite créer depuis longtemps. Je pars du constat simple qu’en France il y a énormément de clubs où il faut avoir tel diplôme, tel origine familiale…, mais finalement il n’y a pas tant de réseaux où les entrepreneurs s’aident et se conseillent pour avancer ensemble à la conquête du Monde.

L’objectif du BV Entrepreneur Club est qu’il soit pro-business, que les dirigeants puissent échanger autour de la table, pour créer du business en s’aidant et partageant leurs regards éclairés sur les marchés nationaux ou internationaux. C’est un excellent moyen de mettre en commun nos expertises. C’est un soutien pour que chacun puisse bénéficier de ce réseau pour déjouer les pièges de toute aventure entrepreneuriale.

Je veux apporter cette valeur ajoutée qui manque aux réseaux business actuellement.

Dans l’idéal j’aimerais le lancer d’ici la fin de l’année.


Si j’étais une stratégie :

Obligatoirement digitale ! Je m’explique, aujourd’hui tout se passe sur le web. Cependant, il est important que tous les membres d’une entreprise en prennent conscience, à commencer par leurs dirigeants.

Cette stratégie digitale permet d’être connue dans le monde entier, si l’entreprise à une vraie stratégie de développement à l’international.

Il est fondamental que toute entreprise, quelle que soit sa taille, ait un site internet, une présence sur les médias sociaux.

Même dans mon domaine d’expertise, le site internet en .com, a généré un nombre important d’internautes qui sont venus visionner les interviews TV. Il est fantastique de constater que mon site est consulté de partout à travers le monde. Cela permet d’ouvrir les frontières, ce qui est incontournable pour le business, la marque, l’entreprise.


Si j’étais un des 5 sens :

Je serais la voix ! J’ai toujours aimé la radio, même si depuis 18 ans, j’ai fait de la Télévision chez Bloomberg France puis de la Web TV, où l’on ne me voit quasiment jamais, au cours de mon parcours en tant que journaliste, la voix est toujours quelque chose que j’ai trouvé intéressant.

J’ai d’ailleurs un souvenir du temps des débuts des radios libres, ce souvenir de l’importance que pouvait revêtir une voix à la radio. La voix reste quelque chose d’assez puissant. C’est une forme de proximité, cela peut rappeler des moments de vie aux personnes qui vous écoutent.

J’ai eu l’occasion de débattre sur RTL et j’ai toujours eu de bons commentaires sur ma voix.


Si j’étais une rétrospective :

Pour une fois, je vais parler de moi, même si c’est jamais facile de parler de soi, mais quand même si je regarde en arrière, j’ai commencé dans la presse écrite, j’ai fait de la radio, de la Télévision, du Web, j’ai aussi été « de l’autre côté du miroir » à la Commission des Opérations de Bourse (COB), le gendarme des marchés financiers, comme porte-parole, et avec les milliers d’interviews de dirigeants d’entreprises en tête, j’aimerais qu’avec l’intelligence artificielle dont on parle tant, un partenaire puisse capitaliser sur cette expérience. Vous savez, rien ne me prédisposait à tout çà, moi quand j’ai commencé au Figaro en 1989, à celui qui devait m’embaucher, je disais : « Vous savez, j’ai une licence de Droit, une Maîtrise de Science Politique, je connais rien à la Bourse,», sa réponse déterminante : « Didier, vous apprendrez sur le tas », cela fait désormais presque 30 ans que j’apprends grâce à mes rencontres dont celle d’aujourd’hui avec vous. Et quand je croise d’anciens confrères de la presse écrite qui me demandent ou je suis, je réponds, je suis chez moi !


Si j’étais une entreprise du CAC40 :

Il est compliqué de répondre à cette question, j’aurai plutôt tendance à me concentrer sur les PME et ETI (entreprises de tailles intermédiaires) qui font la croissance de la France.

Les entreprises du CAC40 ont déjà fait leur développement et aujourd’hui là où il est intéressant d’aller chercher de la croissance, c’est vraiment au cœur des PME et ETI.

Il serait bon que les gens connaissent ces entreprises. Cela permettrait une belle évolution de la croissance économique en France et de sa compréhension.

J’essaie de les médiatiser au maximum pour qu’elles soient connues et reconnues sur le média web TV labourseetlavie.com.


Si j’étais un loisir :

La marche à pied ! Mon cerveau étant très occupé toute la semaine, quand on gère cinq fonctions à la fois, cela peut aider. J’adore aller marcher pour déconnecter, me ressourcer en écoutant la nature autour de moi, notamment les oiseaux. Je n’arrive pas encore à leur parler mais j’essaie.

C’est le vrai moyen de faire un break, qu’il n’y ait plus de questions qui se posent, et aucun téléphone connecté, en marchant pour s’imprégner en toute sérénité de tous ses bruits.


Si j’étais un hashtag :

#optimismeconstructif ! Malgré les épreuves que chacun peut traverser, nous devons garder notre optimisme. Il est important d’être conscient de cela et faire tout pour que cela puisse perdurer dans le temps. Un interlocuteur m’a dit un jour, « c’est courageux ce que tu as fait de créer ton entreprise, peu osent le faire… », j’étais étonné de son affirmation, mais quand je vois ou rencontre ceux qui entreprennent, je mesure les efforts qu’il faut faire, je le sais pour moi, mais aussi pour les autres, j’ai un énorme respect pour eux, pour tous ceux qui entreprennent, l’#optimisteconstructif passera par des hauts et des bas, mais il me dira de regarder devant.


Si j’étais un titre d’article :

« Derrière la Bourse et les entreprises, il y a toujours une aventure humaine ». C’est la leçon que je retiens, après toutes ces années d’interviews de dirigeants d’entreprises, qui avaient comme leurs salariés une vie privée, et une vie au sein de la société. Leurs aventures entrepreneuriales sont avant tout des aventures humaines, avec des équipes et sans elles, sans vision stratégique, ils risquaient l’échec.

Au cours de mes 30 années de journalisme économique j’ai vu des entreprises évoluer, grandir. Le constat est que s’il n’y avait pas cette aventure humaine, cette envie de progresser et d’avancer, et pas simplement sur la partie financière mais sur la stratégie développer et faire évoluer l’entreprise, le succès ne serait pas là.

J’ai très envie de mettre en avant cette aventure humaine au sein des entreprises, car je pense que c’est fondamental et il faut le rappeler.


Si j’étais un espoir :

Ce serait que les Français connaissent mieux l’économie française et mondiale.

Je considère avoir une mission à accomplir, celle d’informer, d’apporter un regard éclairé sur l’économie qui fait le monde. Presque un sacerdoce compte tenu de mon parcours, bien souvent l’idée que l’on s’en fait n’est pas la bonne parce que nous ne connaissons pas le fonctionnement de l’économie.

Palier à ce manque d’information permet d’avoir une nouvelle vision de l’économie et de son évolution. Exemple la mondialisation, j’ai appris à la comprendre très tôt grâce à un entrepreneur qui en avait déjà compris l’importance pour son entreprise.

Être au début de l’information, au tout début, en écoutant ces entrepreneurs pour comprendre ce que deviendra l’économie dans leur secteur, au cours des prochaines années. Il y a un réel besoin pédagogique sur ce que peut être l’évolution économique. Sans caricatures. Comprendre l’économie avec ceux qui la font, c’est ce que j’ai fait, je rêve que les Français me suivent, il y a 30 ans, je n’y connaissais rien, tout est donc possible.


 

Didier TESTOT est le fondateur de LA BOURSE ET LA VIE TV, agence de production audiovisuelle, qui édite le site de la Web TV www.labourseetlavie.com, média indépendant, créée en 2009, et devenu en quelques années la première base de données sur les dirigeants de sociétés cotées en vidéos.

Journaliste financier, Didier a travaillé au Figaro et à la Tribune, il a également été l'ancien porte-parole de la Commission des Opérations de Bourse (COB), puis chez Bloomberg Télévision comme Senior Business Editor.

Sa conviction : Content is King. Le contenu c'est la clé pour se distinguer dans l'univers digital. De son double parcours, de journaliste et de producteur audiovisuel, il veut en faire une force pour faire comprendre l'économie au plus grand nombre avec ceux qui la font, les entreprises et leurs dirigeants.

Et dans 5 ans ? Il aimerait avoir réussi avec des partenaires à développer aussi bien la production de programmes spécifiques avec les dirigeants, que la base de données unique d’interviews de la web TV. Il aime penser aux innovations, à toujours enrichir le contenu, des projets audiovisuels sont prêts, il espère donc pouvoir les réaliser.


Vous pouvez retrouver Didier TESTOT sur LinkedIn, Twitter, et sur son site Web Tv, mais aussi sur celui de son agence de production audiovisuelle : didiertestotproductions.com.

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